– Comment trouvez-vous Lafrançaise ? – Sale et trouée…

Des ordures sauvages. Des nouveaux bacs qui ne sont pas pratiques. Des taxes qui explosent. Rien n’est encore une fois vraiment réfléchi.

La problématique des déchets reste pleine et entière. Malgré l’arrivée de nouveaux bacs dans la commune, les déchets sauvages continuent.

Les messages du SIEEOM n’ont pas d’impact.

Comment l’expliquer : la hauteur de ces bacs fait qu’il n’est pas facile pour nous tous d’introduire correctement ses déchets. Nous ne mesurons tous pas 1,80 mètre. A cela, s’ajoutent des clapets qu’il faut pousser fortement.

Mais on commence à voir de plus en plus de ces bacs sans clapets. Fragilité ou gadget finalement accessoire. Les effluves vont s’en donner à coeur joie cet été, ainsi que les frelons qui y seront attirés.

Pas très écologique, le ramassage de ces bacs est conduit dans un camion-benne qui répand une partie de son chargement en plein vent dans les fossés puis les rivières de notre commune.

Le coût de ces nouveaux bacs pour la commune va encore avoir un impact sur la taxe sur les ordures qui ne cesse d’augmenter d’année en année.

Nous payons le prix d’enlèvement des ordures des plus grandes Métropôles Françaises. Et pour quel service ?

Il est facile de rejeter la faute sur les incivilités des citoyens. Mais quelles sont les mesures coercitives mises en place ?

La solution devra être à terme l’enfouissement des bacs pour les rendre plus accessibles , l’individualisation des bacs à poubelle pour une meilleure gestion de ses déchets individuels.

Dire qu’il s’agissait d’une aire de co-voiturage.

Autre sujet d’inquiétude : les nids-de-poule qui envahissent la commune. Pour une nouvelle rue, combien de rues dégradées autour de la salle communale, de la place du foirail, sans parler de la Côte St Georges.

On voit bien les employés communaux remplir de macadam les trous mais ce rapiéçage tient à peine deux à trois jours. C’est normal selon eux, ce n’est pas ce type de revêtement qu’il faudrait utiliser.